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Eau Eau

Sécheresses, inondations… ces phénomènes se répètent et s’intensifient. À chaque crise, on entend comme un écho les mêmes demandes de la part de la profession agricole irrigante : stocker davantage d’eau douce et construire des retenues.

Pour justifier ces choix économiques, les mêmes arguments sont martelés : « l’irrigation prélève peu ! » ou « elle est nécessaire à la souveraineté alimentaire !», sans jamais mentionner les conséquences sur le cycle de l’eau et les impacts sur les milieux naturels. Pourtant, surexploiter une ressource qui se raréfie ne peut être une stratégie durable.

France Nature Environnement passe au crible les approximations et lieux communs qui circulent à ce sujet.

“Il faut stocker l’eau pour résoudre la sécheresse”

FAUX

La création de nouvelles retenues artificielles est souvent présentée comme la solution à la sécheresse, alors que la France compte déjà entre 600 000 et 800 000 retenues d’eau(le lien est externe), de toutes tailles et à usages variés. Or, le stockage de l’eau a des impacts sur les territoires : sur les cours d’eau, sur la qualité de l’eau, ou encore sur le niveau des nappes phréatiques. Ils représentent également des investissements financiers, qui participent à un engrenage néfaste pour les agriculteur·trices.

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Vrai/Faux Irrigation
Paragraphes

Que signifient «Ressource en eau renouvelable» et «Eau disponible» ?

“L’irrigation est nécessaire à la souveraineté alimentaire”

❌ FAUX

Seulement un quart des cultures irriguées est destinée à l’alimentation humaine en France…

Rappelons tout d’abord que plus de 90 % de la surface agricole est pluviale(le lien est externe), c’est-à-dire qu’elle dépend des précipitations pour son approvisionnement en eau. La surface agricole irriguée ne représentant que 6,8 % de la surface agricole utile(le lien est externe) (SAU)…

Selon les chiffres du rapport France Stratégie 2024(le lien est externe), les productions de ces surfaces irriguées sont à 34 % destinées à l’exportation. Parmi ce qui reste en France, seulement 26 % est destiné à l’alimentation humaine, et 28 % est destiné à l’alimentation animale

Schéma sur la destination des cultures irriguées

Or, concernant l’alimentation animale, une grande part des produits est également exportée : selon un rapport du Réseau Action Climat, d’Oxfam France et Greenpeace France(le lien est externe), « les filières françaises de lait, porc et volaille de chair exportent respectivement à hauteur de 42 %, 39 % et 25 % de leur production ».

Il est donc faux d’affirmer que le développement des capacités d’irrigation est nécessaire à la souveraineté alimentaire de la France, quand la majorité de l’agriculture française dépend des précipitations et que les cultures irriguées sont destinées en grande partie à l’exportation, directement ou indirectement. 

“Depuis l’aube de l’humanité, l’Homme cultive et irrigue”

🟠 Oui, certes… MAIS !

Comme elle est jolie cette image de livre d’histoire : la Mésopotamie, des paysans en pagne, une houe à la main, des petits canaux d’irrigation, des céréales vertes qui se détachent sur un fond de dunes désertiques… Ah ! La merveilleuse histoire de l’Humanité !

Maintenant, jouons au jeu des sept différences avec notre époque :

Pour aller plus loin  

Voir le documentaire : Tu nourriras le monde(le lien est externe), Floris Schruijer & Nathan Pirard, 2022

“L’irrigation ne représente qu’une petite partie des prélèvements d’eau”

🟠 Oui… MAIS

C’est l’irrigation qui CONSOMME le plus !

La plupart des activités humaines qui utilisent de l’eau douce la restituent en grande partie aux milieux aquatiques après utilisation. C’est le cas pour l’eau domestique, ou l’eau utilisée par l’industrie, qui, après traitement, retournent dans les cours d’eau. Les prélèvements sont plus importants, mais l’eau revient dans son cycle naturel à l’état liquide. 

L’irrigation en revanche ne restitue pas l’eau aux milieux, car l’eau prélevée est absorbée par les cultures, ou relâchée par les plantes cultivées sous forme d’évaporation. Cette eau ne se trouve donc plus sous forme liquide dans les cours d’eau ou les nappes souterraines, et c’est donc une perte nette pour les milieux naturels et les autres usages et besoins en eau. Si certains secteurs, comme l’énergie consomment eux-aussi une partie de l’eau de l’eau prélevée, l’agriculture est le premier secteur consommateur net d’eau en France hexagonale.

Quand on regarde les chiffres de la consommation de l’eau, l’irrigation arrive largement en tête, avec près des deux tiers de l’eau consommée en France.

Comparaison avec part de l'irrigation dans la quantité d'eau consommée chaque annéeDestination des prélèvements et consommation d'eau en France

Source : France Stratégie, 2024(le lien est externe)

“L’irrigation représente une toute petite partie des cultures, et n’a donc que peu d’impact”

❌ Alors oui… mais FAUX !

Oui c’est une petite partie de la surface agricole utile… mais c’est un gros impact, pour une minorité d’exploitation !

L’agriculture irriguée est minoritaire en termes de nombre d’exploitations et de surface agricole utile. C’est donc une minorité d’exploitations qui utilise 62 % de l’eau consommée chaque année en France. L’argument de la minorité est souvent utilisé la profession pour minimiser les effets de cette pratique, mais ce constat ne rend que plus discutable l’utilisation de tant d’eau pour si peu d’exploitant·es et de surface.

Que signifient Surface Agricole Utile (SAU), surface irrigable et surface irriguée ?

“L’eau qui part à la mer est perdue”

FAUX

L’eau n’est pas PERDUE : c’est son cycle naturel, et il est nécessaire

L’eau douce qui arrive à la mer est-elle perdue ? Inutile ? Non !

L’eau douce qui arrive par les précipitations ou la fonte des neiges et glaciers participe au fonctionnement naturel des cours d’eau et des écosystèmes qui dépendent de cette eau (prairies humides, marais, estuaires, abords des cours d’eau, etc.). Parmi les phénomènes naturels dépendant de la variation des débits de cours d’eau : les crues. En effet, les crues sont indispensables à nombre d’espèces des milieux aquatiques(le lien est externe), dans les fleuves et les rivières, mais aussi dans les estuaires et dans la mer ! Les crues leur apportent de l’eau douce chargée de nutriments et de sédiments indispensables. Et qui dit estuaires et mer dit huitres et poissons !  

« L’eau douce est cent fois plus riche en nutriments biologiques (nitrates, phosphates) que l’eau de mer. Elle ensemence les zones côtières et permet au phytoplancton de s’y développer. Si on coupe le robinet d’eau douce, on perd automatiquement 20 % de production océanique, et bien plus sur le littoral. Au global, deux tiers des espèces de poissons marins dépendent de l’apport en eau douce. Et cela représente trois quarts des volumes pêchés. »

Olivier le Pape, enseignant chercheur en écologie halieutique à l’Institut agro Rennes-Angers (UMR Decod), dans Sécheresse. Pourquoi le manque de pluie menace aussi les poissons d’eau de mer(le lien est externe), Ouest France aout 2022

“L’irrigation s’améliore et utilise moins d’eau”

❌ Alors oui… mais FAUX !

Alors… oui, c’est une meilleure efficacité de l’usage de l’eau

Les technologies, telles que la micro-aspersion, le goutte à goutte de surface ou enterré permettent un meilleur rendement sur l’eau, c’est-à-dire qu’on utilise moins d’eau à l’hectare irrigué et que cette eau s’évapore moins que par aspersion.

MAIS ! On utilise plus d’eau malgré tout, car on a augmenté les surfaces irriguées

Il n’y a aucun progrès dans les volumes prélevés et consommés, malgré les améliorations technologiques. Ce type d’installation peut représenter une amélioration du rendement de l’eau à l’échelle d’une exploitation, mais à l’échelle des bassins, l’eau économisée n’est pas laissée aux milieux naturels… elle est utilisée pour plus d’irrigation.

“Des pluies diluviennes ? Des sécheresses historiques ?”

🟠 Oui  ! mais attention !

Si certains épisodes de pluies nous semblent hors saison et peuvent rassurer sur la situation générale de l’eau en France, il faut regarder les précipitations sur plusieurs années pour se faire une idée de la réalité de la ressource en eau disponible. Et ces chiffres-là sont sans appel : l’eau disponible baisse.

Il y a 14 % de moins d’eau disponible depuis les années 1990

La ressource en eau renouvelable, indispensable à nos différents usages et au fonctionnement des milieux aquatiques, a diminué de 14 % en France au cours des trente dernières années. Cette tendance devrait s’aggraver, notamment en période estivale, avec le changement climatique. 

Schéma ressource en eau renouvelable - Datalab 2022

Source : Évolutions de la ressource en eau renouvelable en France métropolitaine de 1990 à 2018 – Datalab 2022(le lien est externe)

À retenir

Les changements climatiques créent des phénomènes extrêmes de plus en plus fréquents et intenses. Mais même s’il pleut, en fonction du moment de l’année où ces épisodes pluvieux arrivent, ils ne participent pas nécessairement à une recharge efficace des nappes d’eau souterraines. La tendance va plutôt à la baisse globale d’eau douce disponible.

  • On ne peut pas compter sur des pluies abondantes pour alimenter du stockage artificiel, car les épisodes sont imprévisibles et que le cycle de l’eau tout entier en a besoin.
  • On ne peut pas compter sur plus d’eau, car dans la plupart des territoires, il y en a moins de disponible et cela va s’accentuer. On ne pourra faire l’impasse des économies d’eau, particulièrement dans le secteur agricole, plus gros consommateur d’eau.

En revanche, on peut compter sur des sols en bonne santé pour conserver l’eau dans des nappes phréatiques. De plus, il existe une solution pour absorber et stocker l’eau des inondations et la restituer en cas de sécheresses : les zones humides.

Cette bande dessinée a été réalisée en 2016 à l’occasion de la campagne l’Appel du Sol, portée par France Nature Environnement à l’échelle française. Alors qu’ils sont à la base de notre alimentation et de notre santé, les sols ne bénéficient d’aucune protection réglementaire. Pourquoi et comment ? Une bande dessinée réalisée par l’illustratrice Marion Jouffroy(le lien est externe) vous explique tout sur le rôle du sol et la nécessité de le protéger.

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Les sols sont essentiels à notre survie, car ils rendent quantité de services irremplaçables, en plus d’abriter une riche biodiversité. En quoi les sols sont-ils si merveilleux ? Découvrez 7 bonnes raisons de les remercier et de les protéger !

Dossier initialement publié le 12 mai 2016 - Mis à jour le 4 décembre 2023

Découvrir le sol en bd avec «L’appel du Sol»

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Découvrir la BD l’Appel du Sol(le lien est externe)

7 bonnes raisons de protéger les sols

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Agir à mon échelle pour protéger les sols

Mes gestes du quotidien

Au jardin

J’en apprends plus sur les sols !

Que peut faire ma commune ?

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Lettre Eau n°88 : Plan Eau : changer l’eau en vain ?

Au sommaire de cette Lettre Eau :

  • Dossier : Plan Eau : changer l’eau en vain ?
  • Des brèves et les actus du réseau
  • L’hydroélectricité, « belle endormie » de la transition énergétique ?

Revue gratuite du réseau Eau & milieux aquatiques de FNE, la Lettre Eau propose des dossiers sur les enjeux de la politique de l’eau et sur les problèmes environnementaux de gestion des ressources en eau au sens large, incluant la mise en perspective des interactions avec d’autres politiques (agriculture, aménagement du territoire, énergie, santé-environnement, déchets, etc.).

Elle est également un lieu d’expression pour les associations qui œuvrent dans le domaine de l’eau.

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(2 numéros par an)

Thématique
lettre eau 88
Informations du document
  • Lettre Eau 88 (septembre 2023) : Plan eau : changer l’eau en vain ?
  • Lettre Eau 87 (mars 2023) : L’eau et les sols
  • Lettre Eau 86 (août 2022) : Eau et démocratie : bien commun, décisions partagées ?
  • Lettre Eau 85 (décembre 2021) : L’eau dans les Outre-mer
  • Lettre Eau 84 (juin 2021) : État des lieux du bon état : le SDAGE dans tous ses états 
  • Lettre Eau 83 (décembre 2020) : Laisser la nature faire ce qui est dans sa nature
  • Lettre Eau 82 (décembre 2019) : Pollution de l’eau par les nitrates en France : le constat reste décevant 
  • Lettre Eau 81 (septembre 2019) : Tensions sur la ressource : une politique de l’eau qui n’est pas à la hauteur des enjeux 
  • Lettre Eau 80 (juillet 2018) : Le traitement des eaux usées en France : un enjeu de qualité des milieux et de la ressource en eau
  • Lettre Eau 79 (avril 2018) : Entre eau douce et eau salée, une ressource à préserver
  • Lettre Eau 78 (décembre 2017) : Entre inondations et épisodes de sécheresse : anticiper et s’adapter
  • Lettre Eau 77 (septembre 2017) : Des moyens à déployer pour une eau de qualité 
  • Lettre Eau 76 (juin 2017) : Biodiversité aquatique : des enjeux juridiques et scientifiques
  • Lettre Eau 75 (octobre 2016) : Les espèces aquatiques envahissantes 
  • Lettre Eau 74 (mars 2016) : Le festival des déchets aquatiques
  • Lettre Eau 73 (décembre 2015) : Des nouveaux SDAGE au secours de la politique de l’eau
  • Lettre Eau 72 (octobre 2015) : Eau et changements climatiques : comme un poisson sans eau
  • Lettre Eau 71 (juin 2015) : Biodiversité dans l’eau : les défis de la DCE
  • Lettre Eau 70 (mars 2015) : Pollutions diffuses : la politique de l’eau à la corbeille ! 
  • Lettre Eau 69 (décembre 2014) : Projets de SDAGE 2016-2021 : un toilettage peu rafraîchissant
  • Lettre Eau 68 (septembre 2014) : Loi sur l’eau de 1964 : 50 ans de galère ! 
  • Lettre Eau 67 (juin 2014) : Artois-Picardie : une eau « vivante » entre canaux et corons
  • Lettre Eau 66 (avril 2014) : Adour-Garonne : la capture de l’eau
  • Lettre Eau 65 (décembre 2013) : L’eau dans tous ses états… des lieux
  • Lettre Eau 64 (octobre 2013) : L’évaluation de la politique de l’eau : quel boulot, pour quel résultat !
  • Lettre Eau 63 (juin 2013) : La révision des nitrates : entre pression communautaire et pression agricole… 
  • Lettre Eau 62 (mars 2013) : Un bassin Seine Normandie en mutation durable ? 
  • Lettre Eau 61 (décembre 2012) : Les Xèmes programmes
  • Lettre Eau 60 (septembre 2012) : Mystères et décadence dans les eaux souterraines
  • Lettre Eau 59 (juillet 2012) : Invisibles, invincibles ? 
  • Lettre Eau 58 (avril 2012) : Poissons migrateurs : le retour aux sources? 
  • Lettre Eau 57 (janvier 2012) : Politique de l’eau en Outre-Mer, lutte administrative et politique contre les nitrates, les SAGE
  • Lettre Eau 56 (octobre 2011) : Captages prioritaires : le Grenelle boit la tasse
  • Lettre Eau 55 (juin 2011) : Course à l’irrigation : le hold-up de l’eau 
  • Lettre Eau 54 (mars 2011) : Spécial forêts et zones humides 
  • Lettre Eau 53 (décembre 2010) : Continuité écologique: la restauration est en marche 
  • Lettre Eau 52 (septembre 2010) : Classements des cours d’eau : menace ou opportunité? 
  • Lettre Eau 51 (juin 2010) : Quand la Cour des Comptes pointe les dysfonctionnements de la politique de l’eau
  • Lettre Eau 50 (mars 2010) : Numéro anniversaire de le Lettre eau - Rétrospective des grands thèmes : politique de l’eau - hydroélectricité - gestion quantitative - nitrates - hydromorphologie
  • Lettre Eau 49 (décembre 2009) : Le conseil d’Etat confirme la légalité du SAGE Drac amont - Les redevances - Atteindre la bon état écologique - L’adoption des SDAGE - Barrages sur le Cher
  • Lettre Eau 48 (septembre 2009) : Nitrates dans l’eau en Bretagne - Abandon du projet de Donges-Est - Le schéma national des données sur l’eau - Consultation sur les SDAGE

  • Lettre Eau 47 (juin 2009) : Au sommaire : Pour une nouvelle politique de l’eau en Adour-Garonne - Relance de l’hydroélectricté - SAGE et représentation associative - DCE : la révolution biologique et le très bon état - eau potable en Vendée

  • Lettre Eau 46 (mars 2009) : Consultation 2008-2009 - Pour un retour de la continuité sur le Rhin - Développer l’hydroélectricité ou reconquérir la qualité des eaux

  • Lettre Eau 45 (décembre 2008) : Un séminaire pour un échange européen sur la DCE - Réduction de CO2 - Un an an après la conférence interministérielle sur le Rhin - un réglement européen et un plan de gestion français pour sauver les anguilles - les bassines vendéennes tombent à l’eau

  • Lettre Eau 44 (septembre 2008) : Sept ans de travail pour éviter la fermeture d’une plage sur dix en 2015 - périmètres de protection de captages - analyse des questionnaires de la consultation sur l’eau - la restauration des cours d’eau - la révision des SDAGE

  • Lettre Eau 43 (juin 2008) : Chamboulas : une zone d’expansion des crues très convoitée - protection des captages et eau potable à long terme - Maisons rouges et Descartes - potentiel hydroélectrique

  • Lettre Eau 42 (mars 2008) : Analyse comparative des projets de SDAGE métropolitains - Des remaniements dans les comités de bassin

  • Lettre Eau 41 (décembre 2007) : Sommaire : un SDAGE peut-il créer du droit ? - bilan des commissions géographiques 2007 du bassin Loire-Bretagne - contamination des sédiments - le renouvellement des concessions hydrauliques - rareté de l’eau en France Eau n°41

  • Lettre Eau 40 (septembre 2007) : La gestion quantitative par bassin versant - SAGE nappe de Beauce - quatrième révision des zones vulnérables - le SAGE Boutonne - la DCE et le SDAGE Loire-Bretagne

  • Lettre Eau 39 (juin 2007) : Pollution - Hydroélectricité - Ressource souterraine - L’irrigation de la vallée de l’Authion - Agrocarburants

  • Lettre Eau 38 (mars 2007) : Eaux brutes et eaux potables - On a sauvé la loi sur l’eau, mais à quel prix ! - La pollution des eaux par l’usine Métaleurop - 20 ans après Sandoz - Le réglement REACH

  • Lettre Eau 37 (décembre 2006) : Pollution de l’eau par les lisiers de porc en Bretagne - La France face au droit communautaire de l’environnement - Capter l’eau de la Grande Rivière en Martinique - Loi sur l’eau - Neige artificielle - Exemples de bonnes et mauvaises pratiques

  • Lettre Eau 36 (septembre 2006) : Eau : débattre sur le sexe des redevances ou promouvoir le principe pollueur-payeur ? - La Bassée, si controversée - Du nouveau sur le Doubs franco-suisse - Des réserves d’eau pour le bassin de l’Autize -Poutès-Monistrol

  • Lettre Eau 35 (juin 2006) : On vous montre ces pesticides que vous ne sauriez voir … - L’irrigation intensive en Poitou-Charentes - Adour-Garonne : qualité et quantité sont dans un bateau … - Les méandres du principe pollueur-payeur - Bandes enherbées contre pollutions diffuses

  • Lettre Eau 34 (mars 2006) : Le rapport de l’INRA et du Cemagref - La Directive Cadre sur l’Eau - L’eau et l’air, témoins de la pesticide mania française - Un projet impossible pour la Bassée

  • Lettre Eau 33 (décembre 2005) : Eau et tourisme - Nouvelle loi sur l’eau en 2005 - Sécheresse et inondation - DCE

  • Lettre Eau 32 (septembre 2005) : Sécheresse : la source des problèmes est loin de se tarir - Nouvelle loi sur l’eau en 2005 : toujours la loi du milieu ? - Forêt de Rauzan (33) - Élevages et protection de l’eau

  • Lettre Eau 31 (juin 2005) : Directive cadre sur l’eau (DCE) et consultation du public - Consultation du public : les associations rentrent dans la danse - La petite loi sur l’eau adoptée par le Sénat - Environnement et emploi

  • Lettre Eau 30 (mars 2005) : Débits et rivières réservés - Aménagements hydroélectriques et risques - A quand la restauration du principe «pollueur-payeur»? - Irrigation en val d’Authion -Une redevance de collecte à 2 vitesses ?

  • Lettre Eau 29 (décembre 2004) : Réforme de la politique de l’eau - Pollution par les nitrates - Quête de l’or blanc - Le Marais Poitevin - Le risque d’inondation

  • Lettre Eau 28 (septembre 2004) : Energies renouvelables et environnement - Un cas d’école : le barrage de Poutès-Monistrol d’Allier - La Dombes, une zone humide majeure … en déclin - L’extension de la carrière de Montclaret (42) - Un nouveau Plan Local d’Urbanisme pour commencer ? - La concertation, c’est long surtout vers la fin …

  • Lettre Eau 27 (juin 2004) : Economies d’eau - Balade dans l’eau courante des rivières et des gaves - A la découverte du littoral breton avec Bretagne Vivante - SEPNB - Lessives, faites le bon choix

  • Lettre Eau 26 (mars 2004) : Les associations, relais pour informer et consulter les citoyens - Bon état écologique de l’eau - La Moselle vosgienne et l’exploitation des alluvions - Le débat public sur le barrage de Charlas, c’est fini !

  • Lettre Eau 25 (décembre 2003) : Pour une nouvelle culture de l’eau - Charlas, le projet de trop - Val de Loing : l’eau potable et la biodiversité en péril - La nouvelle campagne de France Nature Environnement

  • Lettre Eau 24 (septembre 2003) : Eaux polluées et pharmacovigilance - La renaissance biologique du Rhin - Jallerange : fin du malaise ? - La Marche pour l’eau vivante

  • Lettre Eau 23 (avril 2003) : Loire Nature, un programme ambitieux - Rhin, les enjeux du renouvellement de la concession de Kembs - Thénioux, l’administration prend ses responsabilités ? - Directive cadre européenne sur l’eau - La nécessaire vigilance des associations

  • Lettres Eau 21 - 22 (janvier 2003) : Barrage sur la Loire, la mémoire courte ! - Plan Loire, pour en finir avec les barrages ? - Le Rhin entre écologie et économie - Inondation, reconnaître les risques et s’adapter ! - Val de Loire, l’A85 fait fausse route - Pour une «SAGE» décentralisation

  • Lettres Eau 19-20 (septembre 2002) : Ne pas polluer les boues : pour pouvoir les recycler ! - Boues urbaines : un déchet, ça se recycle - Avis de différents acteurs sur la gestion des boues urbaines - Mormoiron : le marchand de sable va-t-il passer ? - Crues et inondations : une histoire d’hommes et d’eaux

  • Lettres Eau 17-18 (mars 2002) : Colloque «loi sur l’eau 2001» : quels enjeux pour une gestion durable et équitable ? - Loi sur l’eau, touchée mais pas coulée - Les carrières du Pont-du-Château et les Martres d’Artières (63) - Eslourenties : Adour-Garonne, terre de barrages… - Rapport de la Commission Mondiale des Barrages - Eau potable, une politique imbuvable

  • Lettre Eau 16 (juin 2001) : La contamination des eaux par les matières fertilisantes - PMPOA (Programme de Maintien des Pollutions d’Origine Agricole) - La redevance sur les excédents d’azote - Loi sur l’eau 2001 : quels enjeux pour une gestion durable et équitable

  • Lettre Eau 15 (mars 2001) : Nos ressources en eau ont-elles encore un avenir ? - La redevance de consommation : l’usager domestique trinque encore ! - Conseil Economique et Social : un rapport consensuel

  • Lettre Eau 14 (décembre 2000) : 2011, l’odyssée de l’eau ! - La redevance de pollution ou la dérive du principe pollueur-payeur - 24 mois de fonctionnement du Conseil Départemental d’Hygiène d’Ile-et-Vilaine

  • Lettres Eau 12-13 (avril 2000) :  Les réalités du développement durable - Trézence, un barrage reconnu d’inutilité publique - Agence de l’eau : 30 ans après, un bilan nuancé qui justifie des évolutions

  • Lettres Eau 10 -11 (avril 1999) : Pour une agriculture biologique et paysanne - Nouvelle PAC, une réforme qui n’en est pas une - Chambonchard, une faiblesse congénitale

  • Lettres Eau 8-9 (novembre 1998) : La gestion de l’eau à la française - Pour une nouvelle approche de la gestion de l’eau en France - Les réformes de 1998

  • Lettre Eau 7 (mai 1998) : Fracture sociale autour des questions d’eau et d’agriculture - Témoignage

  • Lettre Eau 6 (novembre 1997) : Congrès «Eau vivante»

  • Lettre Eau 5 (juillet 1997) : Micro-centrales - Education à l’environnement

  • Lettre Eau 4 (avril 1997) : Congrès FNE 1997 - Gestion de l’eau

  • Lettre Eau 3 (janvier 1997) : Le projet de canal à grand gabarit Rhin-Rhône

  • Lettre Eau 2 (juin 1996) : Chambonchard - Charlas - Les nuisances des barrages dans le détail - La Cloche… Silence ! On détourne.

  • Lettre Eau 1 (mars 1996) : Le Marais Poitevin - Le saumon - Le Canal Rhin-Rhône

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